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Le voyageur doit frapper à toutes les portes avant de parvenir à la sienne…
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31 mars 2014

La blueberry farm

Nous sommes le 7 janvier, je suis en pleine forme, malgré une petite barre au crane en raison de quelques cannettes de vidés avec les futures collèges pickers la veille, et je suis impatient de commencer dans quelques heures mon nouvel emploi de picker, comprenait ramasseur de fruit. Ramasseur de myrtille plus précisément.

Nous campons au bord de la rivière à seulement 3 km de la ferme. Sur place je fais la rencontre d’Anna la manager et les Boss Donald et sa femme Nicola (non ce n’est pas un travlo).

Je suis très motivés à mettre la main à la patte, il faut dire que ça fait un moment que je vis sur mes économies, depuis mai 2013 en fait ! Finalement près plusieurs jours il s’avère que la cueillette n’est pas forcément éprouvant, mais c’est un travail pénible. De plus les salaires sont relativement bas en Nouvelle Zélande comparativement au cout de la vie, ce n’est pas l’Australie comme beaucoup de voyageurs aime à le dire. Heureusement l’ambiance y est bonne. Il y a un turn over assez important puisque l’on est payé à la semaine, et des nationalités de tous poils.

Nous somme payés au rendement. 2,50 dollars brut au kg (1,60€), puis 4,50 en fin de saison. En ayant acquis de l’expérience après plusieurs semaines je ramasse en moyenne 6 kg à l’heure. Ce qui fait que finalement je me faisais un salaire intéressant en fin de saison. Cependant tout cela dépend du rang choisis pour cueillir et de la météo.

L’avantage de ce type de paiement c’est que l’on n’a pas d’horaire. Aussi il m’est arrivé plusieurs fois d’aller profiter des après midi ensoleillés à la rivière (voir article) avec les copains ou de m’éterniser en festivals genre du jeudi au mardi (voir article).

Je reste finalement presque trois mois dans cette ferme ma dernière journée de travail étant le 28 mars. En fin de saison je m’occupais davantage du packaging des myrtilles. J’ai même étais payé pour conduire l’audi du boss pour aller chercher des cartons dans la ville d’à côté.

 

Magueule a la cueillette...

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Petite poignée de myrtilles...

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Les myrtilles, attention à ne ramasser que les bleues et sans les feuilles please!IMGP2841

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Djey tout sourire après ça première caisse de la journée (6kg)

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Le coin thé/café

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Devant l'entrepot

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Donald qui fait mumuse sur son quad

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Russel, le chien qui adorre les myrtilles!

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Nous sommes le 7 janvier, je suis en pleine forme, malgré une petite barre au crane en raison de quelques cannettes de vidés avec les futures collèges pickers la veille, et je suis impatient de commencer dans quelques heures mon nouvel emploie de picker, comprenait ramasseur de fruit. Ramasseur de myrtille plus précisément.

 

Nous campons au bord de la rivière à seulement 3 km de la ferme. Sur place je fais la rencontre d’Anna la manager et les Boss Donald et sa femme Nicola (non ce n’est pas un travlo).

 

Je suis très motivés à mettre la main à la patte, il faut dire que ça fait un moment que je vis sur mes économies, depuis mai 2013 en fait ! Finalement près plusieurs jours il s’avère que la cueillette n’est pas forcément éprouvant, mais c’est un travail pénible. De plus les salaires sont relativement bas en Nouvelle Zélande comparativement au cout de la vie, ce n’est pas l’Australie comme beaucoup de voyageurs aime à le dire. Heureusement l’ambiance y est bonne. Il y a un turn over assez important puisque l’on est payé à la semaine, et des nationalités de tous poils.

 

Nous somme payés au rendement. 2,50 dollars brut au kg (1,60€), puis 4,50 en fin de saison. En ayant acquis de l’expérience après plusieurs semaines je ramasse en moyenne 6 kg à l’heure. Ce qui fait que finalement je me faisais un salaire intéressant en fin de saison. Cependant tout cela dépend du rang choisis pour cueillir et de la météo.

 

L’avantage de ce type de paiement c’est que l’on n’a pas d’horaire. Aussi il m’est arrivé plusieurs fois d’aller profiter des après midi ensoleillés à la rivière (voir article) avec les copains ou de m’éterniser en festivals genre du jeudi au mardi (voir article).

 

Je reste finalement presque trois mois dans cette ferme ma dernière journée de travail étant le 28 mars. En fin de saison je m’occupais davantage du packaging des myrtilles. J’ai même étais payé pour conduire l’audi du boss pour aller chercher des cartons dans la ville d’à côté.

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